Chronique : Libres et Affamés de rire, de vie et d’amitié, de David Arnold.

  • Titre : Libres et Affamés de rire, de vie et d’amitié
  • Auteur : David Arnold
  • Editeur : Milan / Page Turners
  • Prix : 15,90€
  • 320 pages
  • Résumé :  » Ce roman commence par un décès et se termine par un meurtre. Et, même si la police d’Hackensack aimerait en savoir plus, ce n’est pas un roman sur la mort.  C’est un roman sur : Une famille de sublimes indésirables. Un étrange jeu de piste pour disperser des cendres. Un sous-marin abandonné au bord d’une rivière. Un collectionneur d’histoires et de tatouages. Le langage intime des claquements de doigts. Ce que signifie vraiment « être cool ». Les couchers de soleil, les glaces et les Super Chevaux de course. L’amour de la peinture. L’amour de la musique. L’amour tout court. »

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Merci aux éditions Page Turners pour ce roman !

  • Mon avis : un roman original et addictif !

J’avais été intriguée par le résumé de ce roman. C’est vraiment ce qui m’a attirée, d’autant plus qu’il est assez vague et n’en dit pas beaucoup. J’avais donc hâte de me plonger dans l’histoire, mais en même temps, j’appréhendais un peu… BREF, qu’est-ce que cette lecture a finalement donné ?

Ce qu’il faut retenir sur ce roman, selon moi, c’est son originalité. C’est la première chose qui saute aux yeux, rien qu’en lisant le résumé. Et ça se confirme au cours du roman. L’histoire, les personnages, le style… Tout est atypique et original. Du coup, même si je n’ai pas eu de coup de coeur pour ce roman, j’en garde un excellent souvenir.

On suit donc 5 jeunes gens, qui vont former une petite bande en marge de la société. Ils sont liés par leur vécu, par leurs histoires, toutes aussi horribles les unes que les autres. Par leurs cicatrices et la façon dont ils vont devoir se serrer les coudes pour s’en sortir. Ils sont aussi liés par une quête que leur propose Vic, celle d’exaucer les dernières volontés de son père… Les histoires des personnages sont émouvantes et on apprend à les connaitre doucement, avec juste ce qu’il faut comme révélations pour qu’on soit accro au bouquin. Celui-ci se lit très vite et le suspens est assez bien construit.

Autre chose que j’ai justement aimé dans ce roman : la construction. Lorsqu’on commence le livre, on ne connait pas les personnages ou leur histoire. On sait juste la fin (en quelque sorte). On a des extraits d’interrogatoire de la police qui nous laissent deviner ce qui s’est passé, même si ça reste un peu flou. Et contrairement à ce qu’on peut penser, ça ne gâche pas du tout la découverte du roman. Au contraire ! On a très envie de savoir comment on en est arrivé là, justement. Il y a plusieurs extraits des interrogatoires au cours du roman et ils relancent très bien l’intrigue et le mystère. J’ai trouvé cette construction vraiment originale (au risque de me répéter), super intéressante et très accrocheuse.

Ce livre est donc un petit mystère, un récit vraiment sympa qu’il vaut mieux découvrir par soi-même : ma chronique est donc très évasive, mais c’est mieux pour découvrir ce que cache ce roman atypique. Une lecture surprenante qui m’a changé de mes lectures habituelles ! 😉 

 

Marie  ❤


3 réflexions sur “Chronique : Libres et Affamés de rire, de vie et d’amitié, de David Arnold.

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